Nicolas Sarkozy présente la politique de soutien au logement

Le président de la République s’est déplacé à Meaux, le 28 novembre, aux côtés de Christine Boutin et de Jean-François Copé pour présenter la politique de soutien au logement. Afin de soutenir la construction, il a rappelé le rachat par l’Etat à un prix décoté de 30 000 logements dont les travaux n’ont pas été lancés faute de certitude sur les ventes.

Sur les 30 000 logements dont l’Etat se porte acquéreur, 10 000 sont rachetés par la société nationale immobilière, filiale de la Caisse des dépôts et consignations.
"Nous allons faire plus pour le logement mais je ne veux pas que cela serve à maintenir les prix hauts. Ce que nous voulons, c’est que les prix baissent pour que ça reparte. C’est ça l’économie de marché.", a-t-il affirmé tout en regrettant qu’"en 2007, les prix de l’immobilier [aient] atteint en France le plus haut niveau par rapport aux revenus des ménages depuis quarante ans."

Il a également proposé, dès 2009, la mise en place d’un éco-prêt de 30 000 euros à taux zéro pour inciter les propriétaires à rénover et à isoler leur appartement ou leur maison.
En investissant dans le développement durable, "le budget des familles ne devrait plus s’évaporer par les portes, les fenêtres et les toits", a-t-il déclaré.

Une solution équilibrée pour les sans-abri
Le président de la République préconise pour les sans-abri une solution "d’équilibre" et de "bon sens", préservant à la fois la liberté individuelle et les devoirs de l’Etat.
Scandalisé par le fait que des personnes meurent de froid en 2008 à la périphérie de Paris, Nicolas Sarkozy préconise de "mettre les personnes [sans domicile fixe] en situation de décider" en leur proposant une assistance et un hébergement d’urgence qu’ils seront libres de refuser. Estimant que dans certains cas, la personne n’est pas "lucide pour décider de sa vie ou de sa mort", le chef de l’Etat suggère qu’elles soient prises en charge dans un premier temps.

"Je propose que cette personne-là, on lui donne à manger un bon repas chaud, on lui propose de la soigner, on lui permet de prendre une douche ou un bain, on lui montre la chambre ou le lit qu’on lui propose. Si elle n’en veut pas, elle s’en va, elle reprend la rue, c’est le respect de la dignité de la personne" de son "autonomie" et de sa "liberté", a-t-il poursuivi. "L’hébergement d’urgence, ce n’est pas la prison".

Il a par ailleurs annoncé qu’il présenterait "le 4 décembre prochain un plan de soutien très puissant à l’activité économique". Ce plan devrait comprendre des mesures d’incitation pour les économies d’énergie, secteur qui constitue, selon lui, "un gisement" d’emploi.

Le fonds stratégique d'investissement




Soirée beaujolais nouveau UMP de Décines

Avec Philippe Meunier député du Rhône
Avec les organisateurs de la soirée : Mohamed Rabehi et Marie-Claire Fischer

Avec Martine Pénard et Mohamed Rabehi conseillers municipaux de Décines


La politique d'intégration




L'appel d' Angela Merkel et de Nicolas Sarkozy contre la crise

«Nous ne pouvons pas attendre»

Il y a onze jours, nous étions à Washington avec les autres chefs d'État et de gouvernement du G20 pour organiser une réponse commune à la pire crise financière depuis des décennies. Après l'explosion de la bulle des « subprimes », la contagion a atteint toutes les économies du monde développé ou émergent. Cette crise mondiale appelait une réponse mondiale. Les dirigeants des vingt principales économies de la planète ont donc décidé de principes communs et d'un plan d'action. Nous avons ainsi jeté les bases d'une réforme fondamentale du système financier international, pour que les excès du passé ne se reproduisent plus. Nous voulons plus de transparence, plus de responsabilité et une surveillance renforcée de tous les acteurs. Nous avons demandé à nos ministres des Finances d'appliquer ce plan d'action avant le 31 mars prochain. Nous attendons d'eux la mise en œuvre dans leur intégralité des principes et des mesures décidés à Washington.

Tous les participants au sommet de Washington sont tombés d'accord sur « des mesures budgétaires rapides pour soutenir la demande intérieure ». Dans le même temps, ils se sont fermement engagés à garantir la « soutenabilité » de leurs finances publiques. Cela ne doit pas se faire en mettant en péril la stabilité économique et sociale de nos pays.
Or, nous traversons des circonstances réellement exceptionnelles. La crise bancaire internationale est la plus forte des soixante-dix dernières années. La plupart des économies européennes enregistreront leurs pires performances économiques depuis bien longtemps avec un à plusieurs trimestres de croissance négative. Certaines dépasseront le seuil des 3 % de déficit, ce qui est inévitable dans de telles circonstances.

Nous pensons que l'économie mondiale a les moyens de se rétablir en 2009 et de rebondir ensuite. Les économies de la zone euro en particulier restent fondamentalement saines. La dette des ménages est généralement faible. Les bilans des entreprises sont solides. Les tendances à la baisse des prix sont fortes, ce qui devrait améliorer le pouvoir d'achat de nos concitoyens et donner des marges de manœuvre à la politique monétaire.

Mais ce rebond n'ira pas de soi. En dépit du soutien massif apporté au secteur bancaire dans tous nos pays, le fonctionnement des marchés financiers reste très perturbé. Une forte incertitude prévaut aujourd'hui. Les projets d'investissement sont donc révisés ou reportés. La consommation est faible. La confiance s'est dangereusement dégradée.

Dans ce contexte, il est capital de prévenir et d'empêcher une spirale récessive dans nos pays. Nous appelons les banques et toutes les institutions financières à utiliser pleinement les facilités qui leur sont données pour maintenir et soutenir les crédits à l'économie.

L'examen des dernières crises bancaires nous enseigne aussi qu'une intervention publique rapide et décisive est nécessaire pour empêcher des dommages irréversibles à nos économies. La Chine a annoncé un programme important de relance. Les États-Unis se préparent à faire de même pour prendre le relais des mesures ponctuelles déjà prises au premier trimestre 2008.

L'Europe a montré sa capacité à agir. Le sommet de Washington s'est tenu à son initiative. Dans la déclaration de Paris le 12 octobre dernier, nous avons défini une feuille de route pour stabiliser notre système financier puis pour le réformer. De la même manière que nous avions alors mis au point une « boîte à outils européenne » pour le sauvetage du système bancaire, nous devons maintenant construire une approche commune de la relance économique.

Il n'existe en effet pas un modèle unique de plan de relance qui puisse être appliqué par vingt-sept États membres dont les situations économiques et budgétaires sont différentes. Nous croyons en revanche qu'une relance budgétaire coordonnée pourrait rétablir la confiance des consommateurs et des investisseurs et éviter les comportements opportunistes au sein d'un ensemble d'États qui partagent bien davantage que des institutions. Tout doit être entrepris pour soutenir nos économies dans cette période exceptionnelle.

Quelle pourrait être cette approche commune ?
- Les mesures envisagées devraient respecter trois critères :
- être fortes ;
- être temporaires ;
- être ciblées.
Elles devraient donc aller au-delà du simple jeu des stabilisateurs automatiques.

- Ces mesures pourraient concerner le financement de l'investissement et des infrastructures, le soutien aux petites et moyennes entreprises et le soutien direct aux ménages. Il reviendrait à chaque pays de construire son propre plan et de décider son propre dosage, tout en privilégiant les mesures qui ont un impact aussi fort et aussi rapide que possible.

- Ces mesures devraient rester cohérentes avec la stratégie de Lisbonne parce que les réformes structurelles restent plus que jamais nécessaires à nos économies.

- Ces mesures devraient également être cohérentes avec notre objectif de « soutenabilité » budgétaire à long terme. C'est pourquoi il est essentiel que nos politiques s'inscrivent dans un cadre commun. Nous allons y travailler avec nos partenaires dans les jours qui viennent. Nos concitoyens doivent savoir que nous ne les laisserons pas seuls face au plus grand choc économique de ces dernières décennies. Ils doivent aussi être assurés que nous ne renoncerons pas à notre responsabilité budgétaire et à l'objectif de stabilité à moyen terme des finances publiques.

- Les institutions européennes devraient prendre leur part de la relance.
D'abord en permettant la concertation sur les mesures à prendre. Un point du produit intérieur brut européen est une bonne cible et les plans nationaux devront s'y adapter selon les circonstances. Nous n'avons besoin ni d'une approbation formelle ni d'une surveillance tatillonne, mais de lignes directrices que le Conseil européen des 11 et 12 décembre pourrait adopter. Certains pays ont déjà pris des mesures qui vont dans ce sens.

L'Union européenne devrait ensuite venir en complément des actions décidées dans chaque pays. L'industrie automobile et le secteur de l'énergie pourraient ainsi être soutenus en mobilisant de nouveaux moyens de la Banque européenne d'investissement. La mobilisation des fonds structurels devrait également être accélérée par le préfinancement de certains programmes, comme celui en faveur des économies d'énergie. Plus de souplesse, à titre temporaire, dans l'application des règles européennes sur les aides d'État et des objectifs plus ambitieux en matière d'infrastructures, par exemple dans le domaine du haut débit et des réseaux de transport et de distribution d'énergie, pourraient aussi être des sources de croissance supplémentaire. Enfin, le Pacte de stabilité et de croissance devrait être appliqué avec souplesse. Le débat pourrait être rapide sur ce point, puisque le Pacte prévoit des marges de manœuvre à court terme qu'il faut utiliser. Il sera bien temps de construire ensuite un véritable plan de rétablissement budgétaire.

Enfin, l'Union peut aider à une mise en œuvre rapide, parce que la vitesse de réaction est cruciale en matière de relance économique. Les États membres ne doivent pas être ralentis par les procédures communautaires dans la mise en œuvre de leurs plans de relance. De même, si des dépenses communautaires supplémentaires sont nécessaires, elles doivent être autorisées rapidement dans le respect des perspectives financières 2007-2013.
Nous nous engageons à tout faire pour accélérer la reprise. Nous le ferons en gardant en mémoire la nécessité de continuer les réformes structurelles et veiller à la consolidation des finances publiques.Nous invitons les États membres de l'Union à adopter ces principes simples et forts lors du prochain Conseil européen pour constituer la contribution de l'Europe unie à l'appel du sommet de Washington en faveur de la relance économique.

Résultats des élections internes UMP de Villeurbanne


Soirée beaujolais nouveau jeudi 20 novembre 2008 chez Georges Poix

Tous réunis autour de Georges Poix ancien conseiller municipal de Villeurbanne

Le passeport biométrique




Le beaujolais nouveau samedi 22 novembre 2008 à la permanence UMP de Villeurbanne

Avec Michel Blanchard, Pierre-Louis Moury et José Marco
Christian Bocquet, Flavien Bénazet, Jean-Paul Regnault et Gérard Desmoulins
Marie Moyne-Bressand, Micheline Montorier, Marie Dorcival et Geneviève Bligoux



Autour de Philippe Cochet député-maire de Caluire



article du Progrès du 23 novembre 2008


Soirée de l'amicale des arbitres de foot vendredi 14 novembre 2008

Avec Jean-Claude Lefranc notre arbitre villeurbannais !
La chorale villeurbannaise: Hervé, Alain, Jean-Claude, Jean-Paul, Florian...

Avec Alain Garcia, Jean-Paul Regnault et Pascal Parent



intervention au conseil municipal du 19 novembre 2008 sur la réforme de la DSU

Monsieur le maire, chers collègues

La réforme de la DSU a été une des vedettes ce soir au conseil.
Dans sa communication sur le DOB, M. Kabalo s'est inquiété de cette réforme alors que M. Chabrier a annoncé soutenir le principe même de réforme.Quant à vous monsieur le maire, vous avez parlé de retrait.
En quoi conciste la démarche du gouvernement?
Créée en 1991, la dotation de solidarité urbaine (DSU) est une enveloppe distribuée par l’Etat aux communes confrontées à une insuffisance de ressources et supportant des charges élevées.
Actuellement, la dotation de solidarité urbaine (DSU) est accordée par l’Etat aux villes de plus de 10 000 habitants qui répondent à certains critères : le potentiel financier, le revenu moyen des habitants, les bénéficiaires d’aides au logement et le pourcentage de logements sociaux. En 2008, ce sont 715 communes de plus de 10 000 habitants qui ont bénéficié de la DSU.

La réforme des critères d’attribution de la DSU est nécessaire pour mettre fin au saupoudrage. Il est ainsi prévu de recentrer la DSU sur les villes qui en ont le plus besoin, mais avec discernement : la moitié des villes de plus de 10 000 habitants demeurent éligibles.Pour aménager la réforme de la DSU, Michèle Alliot-Marie a reçu, le 23 octobre, l’Association des maires de France, l’Association des maires des grandes villes de France, l’Association des maires de villes et banlieue de France, la Fédération des maires des villes moyennes et l’Association des maires d’Ile-de-France, en présence de Gilles Carrez, président du Comité des finances locales.

L’année 2009 sera une année de transition entre le système tel qu’il existait jusqu’alors, et celui qui devra aboutir pour 2010. Les aménagements proposés par Michèle Alliot-Marie et acceptés par les associations, permettent de franchir une première étape dans la réforme de la DSU :

-l’essentiel de l’augmentation de la DSU, soit 70 millions d’euros, sera concentré sur les 150 villes les plus défavorisées, puisque l’objectif est d’aider davantage les villes qui en ont le plus besoin ;

-les 327 autres villes qui avaient été ciblées pour bénéficier elles aussi de l’augmentation de la DSU dès cette année, se verront garantir une progression minimale de 2 % ;

-toutes les villes éligibles seront assurées de percevoir en 2009 un montant au moins équivalent à celui perçu en 2008.

Les associations ont toutes donné leur accord pour étudier ces critères d’ici à avril 2009 avec le Comité des finances locales, afin de retenir les plus pertinents pour faire aboutir en 2010 la réforme engagée dès cette année.
Merci de votre attention
Régis LACOSTE

2ème petit déjeuner débat UMP de Villeurbanne sur le thème de la sécurité

Henry Chabert, Gérard Maulet, Jean-Paul Borrely secrétaire général d'Alliance et Flavien Bénazet








Merci à Vicky Markaki pour les photos



intervention au conseil municipal du 19 novembre 2008 sur les personnes à mobilité réduite

R-20080242 : avenant aux marchés de travaux relatifs à l’accessibilité du groupe Anatole France pour les personnes à mobilité réduite.

Monsieur le maire, chers collègues,

Vous présentez ce soir au vote du conseil municipal, un avenant aux marchés pour la mise en accessibilité du groupe scolaire Anatole France pour les personnes à mobilité réduite.

Les élus UMP ne peuvent qu’être favorable à ces travaux de mise en conformité des locaux scolaires avec la loi adoptée par la majorité parlementaire UMP en 2005, priorité du Président Jacques Chirac et qui définit l'égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées.

La loi handicap prévoit que les établissements recevant du public doivent être accessibles à toute personne handicapée afin qu’elle puisse y accéder, y circuler et y recevoir les informations qui y sont diffusées dans les espaces ouverts au public. La mise en accessibilité des établissements existants doit intervenir dans un délai de 10 ans.

L’accessibilité, est la pierre angulaire de cette loi, pas seulement à l’environnement mais à la société dans les domaines de la scolarité, de l’emploi, du logement, des transports, de la culture, du sport et des loisirs.

Quelques exemples villeurbannais.

Durant la semaine nationale pour l’emploi des personnes handicapées, organisée par l’ADAPT, lors de sa 12ème édition commencée lundi dernier à l’Espace Tête d’or à Villeurbanne, ou a lieu un forum pour l’emploi, les stands de la ville de Lyon, du conseil général du Rhône et de la région Rhône Alpes ont eu un grand succès.

Une absence de taille à Villeurbanne….la ville de Villeurbanne !

La mairie de Villeurbanne se doit d’être exemplaire en matière d’accessibilité à l’emploi.
Madame Lefranc, quel est le taux d’emploi de personnes handicapées à la maire de Villeurbanne ? Sachant que l’obligation légale est de 6%.Avez vous une politique de recrutement ?

En matière de sport pour tous et accessible à tous, au niveau de nos équipements sportifs et plus précisément de nos piscines, pourquoi ne disposons nous pas d’un ascenseur mobile pour personnes à mobilité réduite pour la mise à l’eau comme à Lyon.

L’hôtel de ville de Villeurbanne se doit d’être accueillant, ouvert à tous quel que soit son handicap. Le conseil de ce soir n’est pas accessible à une personne à mobilité réduite n’ayant le code de la porte pour accéder à l’ascenseur.
Existe-t-il une citoyenneté différente pour nos concitoyens ?

Les simples opérations médiatiques comme celle du vendredi 10 octobre sur l’avenue Henri Barbusse ne suffisent pas et l’image accusatrice, moralisatrice de ce type de journée ne me semble pas très constructive.

Il est urgent d’avoir une politique handicap globale avec des objectifs précis pour Villeurbanne.
En un mot Madame Lefranc, quelle est la réalité des moyens que l’on vous a accordé pour permettre à chacun des villeurbannais quelque soit son handicap à se sentir chez lui à Villeurbanne ?

Merci de votre attention.

Régis LACOSTE

intervention au conseil municipal du 19 novembre 2008 sur la fête du livre jeunesse

Rapport R-20080214 : Préparation de la 10ème édition de la Fête du livre jeunesse.

Monsieur le maire, chers collègues,

Je profite de cette délibération concernant notamment la tarification des exposants et des intervenants à la Fête du livre jeunesse pour féliciter M. Terracher pour sa maîtrise budgétaire.

Des rémunérations autour de 300 euros pour des intervenants extérieurs, c’est une bonne nouvelle pour les contribuables villeurbannais habitués à d’autres montants.

Pour mémoire, à l’automne 2007, dans le cadre de la pseudo concertation publique sur l’aménagement de la partie nord des Gratte Ciel, la municipalité avait senti le besoin de s’offrir les conseils d’un « vétérinaire sans frontière », chargé de nous éclairer sur les enjeux du développement durable dans cette opération.

14900 euros selon les informations du Progrès pour deux réunions publiques ou cet expert de haut niveau ne s’est présenté, en fait qu’à une seule.

14900 euros, c’est une somme qui peut étonné, surtout pour le résultat visible de sa mission, mais il parait que les qualifications du conseiller écologique de Mme Royal n’ont pas de prix.

Pour les contribuables villeurbannais, il en a un !
14900 euros.

Merci de votre attention.

Régis LACOSTE

Les Français ont vraiment fait le bon choix en 2007

À Reims, dès aujourd’hui, les socialistes vont entamer une époustouflante partie de Poker menteur avec en lice quatre écuries.

Les Français vont pouvoir ainsi découvrir une discipline qu’ils méconnaissent – en tout cas à ce point de raffinement - et dans laquelle les dirigeants de ce parti sont les champions.

Mais à l’heure où les principaux dirigeants de ce monde, à Washington, vont travailler à élaborer la société de demain, ils peuvent constater une fois de plus que les dirigeants de l’opposition préfèrent s’enfermer dans un jeu de combinaisons et d’ambitions partisanes bien éloigné des préoccupations d’intérêt général.

Ce chevauchement d’événements illustre le décalage saisissant entre deux types d’engagements politiques.

Plus que jamais, à la lumière de cette pantalonnade rémoise, les Français doivent être conscients d’avoir fait le bon choix en 2007.

Plus de 130 000 agents de l’Etat vont bénéficier d’un rattrapage salarial

Plus de 130 000 agents de l’Etat vont recevoir en moyenne 740 euros brut au titre du mécanisme de rattrapage salarial (Gipa) mis en place par le Gouvernement, ont indiqué le 12 novembre les ministres en charge de la Fonction publique.

La Gipa (garantie individuelle du pouvoir d’achat) est attribuée en 2008 aux agents ayant perdu du pouvoir d’achat entre le 31 décembre 2003 et le 31 décembre 2007 sous forme de complément financier. Les premiers versements ont été effectués sur les fiches de paye de 22 000 fonctionnaires d’Etat au mois d’octobre. Au total, 130 512 (8,4 % des agents de l’Etat) en bénéficieront d’ici à la fin de l’année, a expliqué Eric Woerth lors d’une conférence de presse à Bercy.
Le montant moyen perçu s’élève à 740 euros bruts. Les agents de catégorie C recevront en moyenne 93 euros et ceux de catégorie A 1 082 euros. Au ministère de l’Education nationale, 56 000 agents en bénéficieront pour un montant moyen de 1106 euros bruts.

Les agents des trois Fonctions publiques sont concernés
Le mécanisme concerne les agents des trois Fonctions publiques (d’Etat, hospitalière, territoriale), titulaires et non-titulaires. Dans la Fonction publique hospitalière, 46 000 agents en bénéficieront, surtout de catégorie B (intermédiaire). Les données pour la Fonction publique territoriale ne sont pas encore disponibles.

Un mécanisme reconduit en 2009
Pour l’Etat, la Gipa représente un coût de 100 millions d’euros en 2008, financé par chaque ministère et non par les économies liées à la suppression de postes de fonctionnaires, a précisé Eric Woerth. Pour les hôpitaux publics, elle représente 23 millions d’euros. "Compte tenu du pic de l’inflation en 2008", le mécanisme sera à nouveau mis en place en 2009 pour la période de référence 2004-2008, a annoncé le ministre.

Messe en souvenir du Général de Gaulle à la basilique de Fourvière

L'équipe UMP de Villeurbanne autour de Michel Forissier maire de Meyzieu, François-Noël Buffet sénateur-maire d'Oullins, Michel Terrot député et Laure Dagorne conseillère régionale

Accompagner la mobilité des professeurs

Xavier Darcos a annoncé lors d’un entretien accordé au journal Le Monde plusieurs mesures concernant des aides à la mobilité pour les professeurs du premier et du second degré, dont la mise en place d’un numéro d’accompagnement des enseignants.

Un numéro azur pour accompagner les enseignants du premier et du second degré dans leur démarche en vue d’une mobilité va être mis en place. Le 0 810 111 110 sera accessible sept jours sur sept, de 9h à 21 heures pour la phase inter-académique des mutations, c’est-à-dire jusqu’au 8 décembre. Il permettra aussi d’être informé de la décision dès qu’elle sera prise.

Le ministre de l’Education nationale a également dévoilé plusieurs actions pour accroître la transparence et l’accompagnement des mobilités dans l’Education nationale :

-le développement des postes à profil pour une meilleure affectation des professeurs ayant une compétence particulière (sections européennes...) ;
-le souhait d’éviter les nominations de professeurs débutants dans les établissements les plus difficiles, sauf si l’enseignant concerné est volontaire ;
-des efforts pour que les professeurs agrégés soient nommés en priorité dans les lycées et non dans les collèges ;
-l’ouverture de négociations avec les banques en vue de pouvoir proposer des prêts immobiliers à taux zéro aux enseignants qui ont obtenu une mutation.

Xavier Darcos a évoqué deux autres nouveautés qui seront mises en place :
-l’instauration d’une prime exceptionnelle de 400 euros pour les enseignants en CE1 et CM2 qui seront chargés en février 2009 des nouvelles évaluations des élèves ;
-le lancement avant la fin de l’année, en accord avec Christine Albanel d’un "pass Culture", qui permettra aux enseignants d’avoir un accès gratuit aux lieux de culture.

Cérémonie du souvenir des combattants Alliés morts pour la France à la nécropole de la Doua

Les portes drapeaux Alliés
Avec Michel Forissier

à la nécropole de la Doua



Cérémonie du 9 novembre en hommage au Général de Gaulle

Les Villeurbannais et militants UMP devant la stelle du Général de Gaulle
La minute de silence

Le verre de l'amitié à la permanence après la cérémonie



Vingt universités autonomes dès le 1er janvier prochain

Les vingt universités qui deviendront autonomes le 1er janvier 2009 bénéficieront d’un budget global de 1,9 milliard d’euros, et assureront "la gestion de près de 32 000 emplois", a déclaré Valérie Pécresse le 6 novembre.

En vertu de la loi sur les responsabilités et les libertés des universités d’août 2007, ces universités disposeront de compétences élargies et devront gérer leur propre budget.

"Le passage à l’autonomie sera un véritable tournant ; il représente un transfert sans précédent", a insisté Valérie Pécresse. Concrètement, dès le 1er janvier prochain, les vingt premières universités sélectionnées (Aix-Marseille II, Cergy-Pontoise, Clermont-Ferrand I, Corte, La Rochelle, Limoges, Lyon I, Marne-la-Vallée, Montpellier I, Mulhouse, Nancy I, Paris V, VI, VII, Saint-Etienne, Strasbourg I, II,III, Toulouse I, Troyes) bénéficieront de compétences élargies :

-un budget global qui inclura la gestion des emplois, ce qui représente 1,9 milliard d’euros, et la gestion de près de 32 000 emplois ; cela multipliera par 2,5, voire par 3 les budgets de ces universités ;

-et d’une pleine gestion des ressources humaines et de la masse salariale.

Le ministère a aussi prévu un plan de formation triennal de 1 million d’euros pour former présidents d’université et personnels d’encadrement. Ce plan de formation des agents, qui a débuté dès janvier 2008, porte sur l’ensemble des aspects de management et de gestion ; 500 agents en ont déjà bénéficié, et plus de 1 500 personnels en bénéficieront au final.

Par ailleurs, 721 emplois ont été requalifiés pour accroître l’encadrement. Les universités qui passent à l’autonomie ont bénéficié d’une subvention exceptionnelle de 250 000 euros :
-pour financer les formations des personnels ou l’appel à des cabinets extérieurs de conseil ;
-pour conduire une politique indemnitaire envers les personnels investis dans le passage à l’autonomie.

Réunion à la fédération avec Nadine Morano secrétaire d'Etat à la famille

Avec Dominique Perben, Michel Forissier et Philippe Cochet
Nadine Morano et l'équipe de Villeurbanne :
Jérémy Testa, Florian Moulin, Flavien Bénazet et Micheline Montorier

Merci au photographe Hervé Bérillon