Communiqué

C'est avec surprise que j'ai lu dans les colonnes du Progrès les propos de Frédéric Vermeulin. Il parle de multiplication désordonnée des candidatures à droite. Il doit manquer de culture politique pour considerer les candidats du MODEM comme des candidats UMP ou de la majorité présidentielle.Il oublie le soutien de François Bayrou à Ségolène Royal au 2ème tour de 2007 et son opposition à Nicolas SARKOZY.
En mars 2011, dans chaque canton, un seul candidat représentera l'UMP et la majorité présidentielle aux élections cantonales ! Cette démarche d'unité et de rassemblement peut être difficile à comprendre au secrétaire d'une section socialiste qui depuis 3 ans ne sait qu'exclure et bannir : sur trois conseillers généraux socialistes sortants à Villeurbanne, Lilian ZANCHI a été exclu du PS et Bernard RIVALITA pourtant président du groupe socialiste au conseil général, banni de Villeurbanne ! Deux sur trois !
Quant à la majorité municipale, les verts croyaient être libre de défendre leurs convictions aux élections, refus des socialistes villeurbannais qui les chassent de l'exécutif municipal. Belle leçon de démocratie !
Fédéric Vermeulin qualifie de tragicomédie la situation de l'UMP, il a du confondre avec le parti socialiste ou chaque semaine un nouveau socialiste se porte candidat à l'élection présidentielle...pour défendre l'intérêt général ? Non, simplement pour flatter les égos ! Ce n'est plus de la tragicomédie mais de la comedia dell'arte !

Régis LACOSTE
Délégué UMP de Villeurbanne
Conseiller municipal

ELECTIONS CANTONALES DE MARS 2011

Le comité départemental de la fédération du Rhône réuni lundi 15 novembre 2010 à Meyzieu a élu Philippe Cochet président de la fédération et a validé l'investiture UMP pour les élections cantonales.

A villeurbanne, pour le canton Sud Martine Maurice,





Et pour le canton Centre Jean-Paul REGNAULT.




Composition du nouveau gouvernement de François FILLON


Sur la proposition du Premier ministre, le Président de la République a nommé :


M. Alain Juppé, ministre d'Etat, ministre de la défense et des anciens combattants ;
Mme Michèle Alliot-Marie, ministre d'Etat, ministre des affaires étrangères et européennes ;
Mme Nathalie Kosciusko-Morizet, ministre de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement ;
M. Michel Mercier, garde des sceaux, ministre de la justice et des libertés ;
M. Brice Hortefeux, ministre de l'intérieur, de l'outre-mer, des collectivités territoriales et de l'immigration ;
Mme Christine Lagarde, ministre de l'économie, des finances et de l'industrie ;
M. Xavier Bertrand, ministre du travail, de l'emploi et de la santé ;
M. Luc Chatel, ministre de l'éducation nationale, de la jeunesse et de la vie associative ;
M. François Baroin, ministre du budget, des comptes publics, de la fonction publique et de la réforme de l'Etat, porte-parole du Gouvernement ;
Mme Valérie Pécresse, ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche ;
M. Bruno Le Maire, ministre de l'agriculture, de l'alimentation, de la pêche, de la ruralité et de l'aménagement du territoire ;
M. Frédéric Mitterrand, ministre de la culture et de la communication ;
Mme Roselyne Bachelot-Narquin, ministre des solidarités et de la cohésion sociale ;
M. Maurice Leroy, ministre de la ville ;
Mme Chantal Jouanno, ministre des sports ;
M. Patrick Ollier, ministre auprès du Premier ministre, chargé des relations avec le Parlement ;
M. Eric Besson, ministre auprès de la ministre de l'économie, des finances et de l'industrie, chargé de l'industrie, de l'énergie et de l'économie numérique ;
M. Henri de Raincourt, ministre auprès de la ministre d'Etat, ministre des affaires étrangères et européennes, chargé de la coopération ;
M. Philippe Richert, ministre auprès du ministre de l'intérieur, de l'outre-mer, des collectivités territoriales et de l'immigration, chargé des collectivités territoriales ;
M. Laurent Wauquiez, ministre auprès de la ministre d'Etat, ministre des affaires étrangères et européennes, chargé des affaires européennes ;
Mme Nadine Morano, ministre auprès du ministre du travail, de l'emploi et de la santé, chargée de l'apprentissage et de la formation professionnelle.
Mme Marie-Luce Penchard, ministre auprès du ministre de l'intérieur, de l'outre-mer, des collectivités territoriales et de l'immigration, chargée de l'outre-mer ;
M. Pierre Lellouche, secrétaire d'Etat auprès de la ministre de l'économie, des finances et de l'industrie, chargé du commerce extérieur ;
Mme Nora Berra, secrétaire d'Etat auprès du ministre du travail, de l'emploi et de la santé, chargée de la santé ;
M. Benoist Apparu, secrétaire d'Etat auprès de la ministre de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement, chargé du logement ;
M. Georges Tron, secrétaire d'Etat auprès du ministre du budget, des comptes publics, de la fonction publique et de la réforme de l'Etat, chargé de la fonction publique ;
Mme Marie-Anne Montchamp, secrétaire d'Etat auprès de la ministre des solidarités et de la cohésion sociale ;
M. Thierry Mariani, secrétaire d'Etat auprès de la ministre de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement, chargé des transports ;
M. Frédéric Lefèbvre, secrétaire d'Etat auprès de la ministre de l'économie, des finances et de l'industrie, chargé du commerce, de l'artisanat, des petites et moyennes entreprises, du tourisme, des services, des professions libérales et de la consommation ;
Mme Jeannette Bougrab, secrétaire d'Etat auprès du ministre de l'éducation nationale, de la jeunesse et de la vie associative, chargée de la jeunesse et de la vie associative.

Résultats des élections internes UMP de Villeurbanne du 23 au 30 octobre 2010

La liste du nouveau comité UMP de la 6ème circonscription du Rhône -Villeurbanne :

Délégué de circonscription : Régis LACOSTE

Conseiller national : Jean-Paul REGNAULT

Elus au comité de circonscription et départemental :

BERILLON Hervé
BLANCHARD Michel
BOCQUET Christian
DANIEL Henry
GARCIA Alain
HAZIZA Emmanuelle
JUILLARD Michel
LEFRANC Jean-Claude
MARKAKI Vicky
MARTIN Jean-Wilfried
MAULET Gérard
MAURICE Martine
MONTORIER Micheline
MOULIN Florian
PANICO Virginie
REGNAULT Jean-Paul
TESTA Jérémy

Elus au comité de circonscription et départemental - collège nouveaux adhérents - :

BERILLON Agnès
PROST Michel

Article du Progrès du 16 octobre 2010


Communiqué de presse sur le C3

Dans un communiqué Jean-Paul Bret se plaint de découvrir dans le Progrès les projets du Sytral sur les réaménagements du cours Tolstoï et de la rue Léon Blum le long de la ligne du C3, critiquant le manque de concertation de Bernard Rivalta avec les élus de Villeurbanne et les riverains !
Jean-Paul Bret dénonce une méthode de gouvernance appliquée.... par le maire de Villeurbanne !!!
C'est l'arroseur arrosé !
Depuis des années, les élus UMP dénoncent l'absence de concertation réelle avec les habitants et les élus de l'opposition dans la gestion des grands projets de Villeurbanne : ZAC des Maisons Neuves, réaménagement de la place Grandclement, réduction du cours Emile Zola, terrain des soeurs, ZAC Gratte Ciel Nord et piétonisation de l'avenue H Barbusse.

Espéront qu'après avoir souffert d'être minoritaire, Jean-Paul Bret décrouvrira le respect des élus de l'opposition !

Régis LACOSTE
Délégué UMP de Villeurbanne
Conseiller municipal

Eric Woerth, ministre du Travail sur RTL

Article du Progrès du 9 octobre 2010


Intervention lors du conseil municipal du 4 octobre 2010

Monsieur le maire, chers collègues,

Dans le cadre de la « stratégie territoriale de sécurité et de prévention de la délinquance signée le 23 juin 2010, vous nous proposez de voter ce soir une demande de cofinancement auprès du Fonds interministériel de prévention de la délinquance, pour une étude sur la mise en place de la vidéosurveillance à Villeurbanne.

Les élus UMP ne peuvent être que favorable à cette demande de cofinancement.
Depuis 2008, monsieur le maire, je suis intervenu à mainte reprise pour vous demander d’utiliser tous les moyens mis à disposition des collectivités locales par l’Etat, pour la constitution d’un réseau de vidéo-protection dans notre ville.

Le chemin de Damas fut difficile à trouver mais vous êtes enfin sur la bonne voie !

Lors de chacune de mes interventions, vous m’avez opposé une fin de non recevoir soit disant scientifique, sur l’absence de réels résultats, mais qui était en réalité purement idéologique !
Il suffit de lire votre tribune dans le Monde du 2 mars dernier ou vous opposez l’humain à la machine.

Personne ne veut remplacer l’humain par la machine dans la lutte contre la délinquance. La présence policière sur le terrain est indispensable pour assurer la sécurité de nos concitoyens. Chacun le reconnaît !

Mais nous ne pouvons nous passer des avancées technologiques pour renforcer la lutte contre la délinquance et aider la mission difficile des forces de l’ordre.

Ce débat est récurant.
Il y a 120 ans, dans certains cercles parisiens bien-pensants, était dénoncé la mise en place du fichier des empreintes digitales, considérées comme une atteinte aux droits des citoyens et aux libertés fondamentales !

Qui s’y oppose aujourd’hui ?

Il y a 15 ans le même débat portait sur le fichier ADN considéré par certains comme une menace pour nos libertés fondamentales.

Qui s’y oppose aujourd’hui ?

Vous le voyez ce débat n’as pas lieu d’être idéologique !

Des maires de droite comme de gauche mettent en œuvre avec pragmatisme la vidéo-protection.
Les maires socialistes de Dijon, de Grenoble, de Rennes, de Strasbourg, de Montpellier et de Lyon.
De dangereux réactionnaires ? Non des élus locaux qui ont compris que l’insécurité n’est pas un sentiment mais une réalité !

Votre ami Bertrand Delanoë, dont vous soutenu la candidature malheureuse au poste de 1er secrétaire, a décidé l’installation de 1000 caméras à Paris !

Monsieur le maire, il est heureux dans l’intérêt de la sécurité de nos concitoyens, qu’à Villeurbanne, les délinquants passent, enfin, de l’ombre à la lumière.

Je vous remercie de votre attention.
Régis LACOSTE

Article du Progrès du 5 octobre 2010


Article de Lyon mag du 20 septembre 2010

Henry Chabert s’en prend à la méthode Bret
L’opposition municipale UMP villeurbannaise a effectué lundi matin sa rentée politique. Emmenés par Henry Chabert, ils s’en sont pris à la gouvernance de Jean-Paul Bret, et ont rendu public, pour le canton-sud de Villeurbanne, le nom de leur candidate. Interview.


Lyon Mag : Quels arguments pour l’opposition municipale UMP à l’heure de la rentrée ?
Henry Chabert : Je note la tension qui règne dans l’opposition à la suite de la décision de Jean-Paul Bret d’exclure les Verts de son exécutif. En leur retirant leur délégation, mais aussi en les privant de leur statut d’adjoint. Cela est très grave, car cela va contre le pacte municipal. Autant il appartient au maire de distribuer les délégations, autant cela répond d’une forme d’abus de pouvoir. Je ne suis pas là pour prendre la défense des Verts, mais de tels agissements démontrent le mode de fonctionnement de Jean-Paul Bret. Et nous l’avons dénoncé à plusieurs reprises. Lui qui veut que Villeurbanne soit un exemple de la biodiversité en France, il ne faut pas la limiter à celle des arbres et des crapauds. Il faut l’étendre au champ politique.

Vous jugez l’exemple symptomatique d’un comportement plus général ?
Sa démarche de gouvernance est très peu ouverte. A l’opposition, n’en parlons pas ! Mais même au sein de sa majorité. Souvenez-vous des problèmes avec Rivalta. Sa manière de gérer est très sectaire. Un exemple est très significatif. Le président du comité de quartier du centre de Villeurbanne vient de démissionner. Il estime qu’il n’y pas de concertation suffisante, ou qu’elle se fait dans de mauvaises conditions.

Ces tensions devraient être plutôt bonnes pour vous, avec la perspective des cantonales en 2011 ?
Ce peut être un espoir. Ce sera en tout cas l’occasion pour les Villeurbannais de donner une plus grande part à l’opposition, au sens large du terme. Je crois qu’on ne peut pas laisser une ville comme Villeurbanne dans une situation de monolithisme politique.

Sur quels dossiers la vigilance de l’opposition municipale sera la plus accrue ?
Nou avons beau être vigilants, nous ne voyons rien arriver. Si nous excluons l’avancement du TNP et de l’école de musique, projets soutenus, rappelons-le, par l’Etat, et grâce au concours de feu le conseiller municipal Raymond Terracher, nous ne voyons rien venir. L’exemple-type est le prolongement de l’avenue Henri Barbusse, mieux connu sous le nom d’ « opération gratte-ciel. » Depuis Lazare-Goujon, le prolongement de cette avenue est prévu au nord de Villeurbanne. Malgré des velleités constamment répétées, nous sommes toujours perdus dans un brouillard de concertations qui n’a rien de concret. Alors que tout bouge autour : Lyon, la communauté urbaine, le Carré de la Soie. L’avenue Henri Barbusse reste toujours dans son état originel. Sans qu’aucune perspective nouvelle ne soit véritablement tracée. Cela fait maintenant plusieurs années que nous poussons la municipalité à agir.

Comment souhaitez-vous être force de proposition, au-delà de votre rôle d’opposition ?
Tout ce qui touche de près ou de loin à l’aménagement urbain de Villeurbanne a un tel retard, que l’on peut en permanence répéter ce que nous avons dit lors de la campagne municipale. Et sur bien des sujets : le transformation du quartier du Tonkin, le quartier de Grand Clément, l’avenue Henri Barbusse, l’évolution des logements sociaux. Dans tous les domaines, il y a un retard considérable de la ville de Villeurbanne. Nous ne cessons d’être force de proposition. Nous regrettons de ne pas être entendus. L’apathie règne sur la ville.

Avez-vous déjà choisi vos candidats pour les Cantonales de 2011 ?
Nous avons désigner officiellement la candidate pour le canton-sud. Il s’agit de Martine Maurice. Elle ferait une excellente conseillère générale, vivant, habitant et travaillant dans le canton. C’est une personne très dévouée et rompue à la vie politique locale. Pour les cantons nord et centre, aucune décision n’est prise. Je sais que sur le canton-nord, Richard Morales souhaite se présenter. Il est en voie d’être l’une des composantes de l’union de l’opposition à Villeurbanne. Ce qui n’a pas toujours été le cas. Si Richard Morales est candidat, l’UMP ne présentera pas de candidat.

N’y aura-t-il pas un problème de visibilité à placer Richard Morales sur les listes d’union sachant ses positions plutôt hétéroclites sur les précédents scrutins ?
Il ne s’agit pas de lui demander de rejoindre l’UMP, ce qui serait contraire à son caractère. Il a une personnalité, et son positionnement évoluant, il n’est pas anormal que l’on puisse, dans une perspective d’union indispensable, travailler avec lui. Toute ouverture qui peut contribuer à renforcer l’union, et donc à renforcer nos chances pour les Municipales en particulier, est une bonne chose.

Est-il envisageable de reconduire Jean-Paul Regnault ou Emmanuel Haziza, candidats malheureux pour la cantonale partielle, sur un canton ?
Ce n’est pas impossible. Emmanuel Haziza n’ira toutefois pas car elle achève son cursus universitaire. Elle termine ses études d’école d’avocat. Mais elle se réserve pour la suite.
Pour le canton-centre, nous réfléchissons et discutons avec nos partenaires, car tout n’est pas encore clarifié sur cette zone.

Les Jeunes UMP de Villeurbanne ont affecté dès vendredi leur rentrée. Votre collaboration est constructive ?
Totalement. Nous sommes tout à fait en phase avec les Jeunes. Ils ont effectué une rentrée plus « politique », quand nous avons plus effectué lundi matin une rentrée municipale. Il n’y a pas d’opposition bien au contraire. J’ai toujours personnellement soutenu l’arrivée de jeunes en politique, au sens large. Je continuerai à la faire. Le meilleur exemple, c’est Emmanuelle Aziza, la benjamine du conseil municipal.

Article du Progrès du 21 septembre 2010


Jean-Louis Bruguière, ancien juge anti-terroriste : On est